Bulgaria through the ages (Bulgaria)

14/03/2015 16:33

Les deux témoins de l'histoire sont Le grand Khan Kubrat et Virgile le Prophète (joués par deux grands acteurs) :

 

1- Koubrat, Kourat, Kufrat ou Kvrt (Кубрат ; Gr. : Χουβρατις) (605665), khan des Bulgares de 628 à 665.

 

 

                                                                                     La Grande Bulgarie en 650 apr. J.C.

 

Ses oncles maternels Organa et Gostun, de la Maison d'Ermi, peut-être la même personne, furent régents pendant le début de son règne, le premier de 617 a 630 et le dernier de 603 à 632, et décéda en 635. Il a défait les Avars et créé en 632 la Vieille Grande Bulgarie (connue dans les chroniques byzantines comme Η παλαιά μεγάλη Βουλγαρία). Byzance a reconnu par traité le nouvel État en 635. Le territoire de la Vieille Grande Bulgarie était limité par le Caucase au sud-est, le fleuve Volga au nord-est, et les Carpates à l'ouest. Le successeur de Koubrat, Asparoukh, a défait Byzance et a incorporé dans son royaume les territoires de Mésie situés au sud entre le Danube et les Balkans. Un autre fils de Koubrat, Kouber, est parti vers l'ouest et, plus tard, ses Bulgares ont habité la Macédoine. La partie orientale de la Vieille Grande Bulgarie est tombée sous la domination des Khazars en 668.

Il fut le père de Batbayan, de Kouber et d'Asparoukh.

Le tombeau et le trésor de Koubrat ont été découverts en 1912 dans le village de Malo Pereščepino près de Poltava, Ukraine.

 

2- Cyrille ou Constantin le Philosophe, (né vers 827-828 à Thessalonique et décédé le 14 février 869 à Rome) et son frère Méthode, évêque de Sirmium (né vers 815-820 à Thessalonique et décédé le 6 avril 885 en Grande Moravie, probablement à Velehrad), sont connus comme « les Apôtres des Slaves », c'est-à-dire ceux qui ont évangélisé les peuples slaves de l'Europe centrale. L'Église catholique fête les deux saints le 14 février. L'Église orthodoxe fête la natalice de Cyrille le 14 février, celle de Méthode le 6 avril, et la synaxe des deux saints « égaux aux apôtres » le 11 mai, mais le calendrier traditionnel catholique (forme extraordinaire) ainsi que l'Église catholique de République tchèque et de Slovaquie les fêtent le 7 juillet. Le 31 décembre 19801, le pape Jean-Paul II les a proclamés copatrons de l’Europe, avec Saint Benoît.

Fils d'un drongaire du thème de Thessalonique nommé Léon, et d'une mère appelée Marie, ils appartenaient à une fratrie de sept frères dont Constantin était le benjamin. Leur père étant mort alors que Constantin avait quatorze ans (donc en 841/42), le premier ministre Théoctiste les prit sous sa protection. Constantin, particulièrement, reçut une brillante éducation à Constantinople, sous l'égide, notamment, de Léon le Mathématicien et de Photius, et il fut bientôt connu, sous le nom de « Constantin le Philosophe », comme l'un des hommes les plus savants de la capitale. Les deux frères entamèrent d'abord des carrières de fonctionnaires, Méthode dans l'administration provinciale, Constantin dans la diplomatie : il participa à une ambassade à Bagdad auprès du calife Jafar al-Mutawakkil. Méthode fut le premier des deux à entrer en religion, en 856, dans un monastère du mont Olympe de Bithynie (à environ quarante ans), mais Constantin le rejoignit peu après (âgé de 28/29 ans). Selon leurs Vies, ils se consacrèrent alors aux « livres » : il est probable, en fait, qu'ils commencèrent alors leurs travaux sur la mise au point de l'alphabet glagolitique et d'une liturgie et d'une littérature religieuse en langue slave. On sait que l'alphabet existait en 863 et il a dû exiger plusieurs années de travail. Leur région de naissance, autour de Thessalonique, était en grande partie peuplée de Slaves, et leur mère, Marie, était peut-être d'origine slave, puisqu'ils parlaient apparemment la langue.

En 860, les deux frères, selon la tradition (ou peut-être Constantin seul), sont envoyés en mission chez les Khazars, peuple des steppes établis au nord de la Mer Noire et qui aurait embrassé le judaïsme au IXe siècle. Selon la tradition hagiographique, ils auraient accompli de nombreuses conversions au christianisme au cours de cette mission. D'autre part, ils auraient alors retrouvé en Crimée les reliques du pape Clément Ier, qu'ils devaient apporter à Rome en 868. Peu après leur retour, en 862, le prince Rastislav de Grande Moravie envoya une ambassade à Constantinople pour demander des clercs capables d'instruire ses sujets dans le christianisme dans leur propre langue. C'est alors, selon les hagiographes, que les deux frères auraient inventé l'alphabet glagolitique et la liturgie slavonne en quelques semaines ou mois (862-63). Cependant, il s'agissait sûrement de leur part d'une entreprise plus ancienne.

En 843, en vertu du Traité de Verdun, l'empire franc est divisé en trois États distincts. La Francie orientale, qui deviendra plus tard le Saint-Empire romain germanique, se considère comme l'héritière de l'empire de Charlemagne et de son ambition d'une expansion de l'empire et de l'Église catholique en Europe centrale. Dans la première moitié du IXe siècle, à partir des évêchés de Salzbourg, de Ratisbonne et de Passau, des missionnaires francs pénètrent en Bohême, Moravie et dans la région qui s'étend de la Slovaquie à la Carinthie. Les aristocrates moraves et tchèques adoptent le style de vie et la religion des aristocrates francs. Rastislav (ou Rostislav) qui prend le pouvoir en Grande Moravie en 846 est sans nul doute chrétien, et il a prêté serment de fidélité au roi de Francie orientale Louis II le Germanique. Il étend rapidement son influence à la Bohême et rentre alors en conflit avec Louis le Germanique.

Vers 860, l'entourage de Rastislav se décide à demander l'appui du pape pour renforcer à la fois son État et la chrétienté. En 862, il effectue le même type de requête à Byzance : une ambassade est envoyée auprès des deux chefs, spirituel et temporel, de la chrétienté orientale: le patriarche Photius et l'empereur Michel III.

Michel III délègue alors en Moravie une mission dirigée par les deux frères pour y créer une Église de rite oriental et établir avec la Grande Moravie des relations durables. Constantin et Méthode qui parlent le dialecte slave de Macédoine ont des facilités pour évangéliser ces peuples à qui ils enseignent une liturgie en langue slave. La mission byzantine étend vite son action à la Pannonie, provoquant ainsi l'opposition de l'archevêque de Bavière qui considère que ses droits sont violés. Mais à partir de 867, la situation est changée à Constantinople, où Michel III est assassiné et le patriarche Photius démis de ses fonctions. Constantin et Méthode se rendent alors auprès du pape, apportant à Rome les reliques supposées de Clément Ier qui sont accueillies avec grande vénération par Adrien II. Méthode lui-même, et plusieurs de leurs disciples comme Clément d'Ohrid, sont alors ordonnés prêtres, et le pape accepte l'usage du vieux slave comme langue liturgique, ce qui était un point très épineux en Occident, où seuls l'hébreu, le grec et le latin étaient reconnus comme langues religieuses légitimes. Adrien II consacre aussi Constantin évêque. Mais peu de temps après, en 869, ce dernier meurt à Rome, après être devenu moine sous le nom de Cyrille. Adrien II nomme alors Méthode archevêque de Sirmium, en Pannonie, évêque missionnaire pour les Slaves, chargé d'organiser une province ecclésiastique dans les régions à l'est de Salzbourg4.

En 870, Méthode est emprisonné en Souabe à l'instigation des évêques allemands qui contestent sa juridiction et n'admettent pas sa liturgie ; il n'est libéré qu'en 873 sur l'intervention du pape Jean VIII. Appelé à Rome en 879-880, il est approuvé par Jean VIII et consacré évêque du royaume de Grande Moravie. En 881, il fait un dernier voyage à ConstantinoplePhotius a été rétabli comme patriarche. Il repart ensuite et meurt en Moravie en 885.

L'œuvre de Cyrille et Méthode est de longue durée. Les Slaves leur doivent une culture exprimée en langue vernaculaire, le slavon, et un accès à la culture byzantine. L'œuvre missionnaire de saint Cyrille et saint Méthode date d'une époque où, malgré la tension qui s'accroît entre l'Orient et l'Occident, la chrétienté a encore le sentiment de former un seul corps.

Avec Cyrille et Méthode les Slaves ont été dotés de leur premier alphabet et de leurs premiers textes religieux : évangile, psautier, épîtres, offices. Il semble que l'alphabet inventé par Cyrille ne soit pas l’alphabet connu sous le nom de « cyrillique » mais l’alphabet « glagolitique ». Le dialecte slave dans lequel les premiers textes ont été rédigés avec l'alphabet de Cyrille est celui de la région de Thessalonique. À cette époque, le slave présente encore une unité suffisante pour qu’un dialecte du littoral méditerranéen soit compris par des Slaves de l’Europe centrale.

L'œuvre de Cyrille et Méthode se maintient jusqu'en 894 sous le règne de Svatopluk, neveu de Rastislav, qui constitua un empire de la Grande Moravie incluant, en plus de la Moravie, la Slovaquie, la Bohême, une partie du territoire des Serbes prolabes, la Silésie, la région de Cracovie et celle du lac Balaton en Pannonie. Mais ensuite, les compagnons des deux frères doivent quitter la région, et le christianisme original qu'ils y avaient implanté tombe sous les coups du clergé germanique: l'évêque allemand Wiching prend sa succession et rétablit le latin comme langue d'Eglise.

Cette dispersion des disciples, accélérée par la destruction du royaume de Moravie par les Magyars ruine en apparence l'œuvre de Méthode mais permet en fait d'essaimer la liturgie et le nouvel alphabet dans les pays slaves, premièrement en Bulgarie, puis chez les Serbes et les Russes. La Grande Moravie est remplacée par la Bohême où subsistent des monastères fidèles à la tradition de Méthode, et un double culte en latin ou en vieux-slovène. En Croatie blanche, c'est autour du monastère de Tynce à Cracovie que le rite vieux-slovène se diffuse. Malgré son mariage avec la princesse de Bohème Dubravka, le roi de Pologne nouvellement converti, Mieszko Ier opte pour le rituel latin. Deux métropolites coexistent pourtant, l'un à Gniezno en rituel latin et l'autre à Sandomir, sans doute en rite vieux-slovène qui disparut au moment où le schisme fut officiel (1054)

Peu à peu se précise ainsi en travers de l'Europe, une frontière, non pas politique, mais bien réelle qui sépare le christianisme latin et le christianisme grec.

 

3- Ivan Asen II (Иван Асен II, valaque : Ioan Asen II, grec : Ιωάν Ασένου B), né vers 1190-1195, fut un souverain bulgare (tsar) d'origine valaque qui régna de 1218 à 1241 sur l'état appelé à l'époque « Royaume des Bulgares et des Valaques » (Second empire bulgare dans l'historiographie moderne), s'étendant sur ce qui est aujourd'hui la Macédoine, la Grèce du nord, la Bulgarie et le sud de la Roumanie. Il est aussi connu sous le nom francisé de Jean Assen II, Jean III Assen II ou Jean Assen II. Dès les XIIIe et XIVe siècles, il avait en Bulgarie la réputation d'être le plus grand des Assénides (Асеневци). Son prénom était orthographié « Iωάн » sur les fresques des monastères bulgares, comme sur l'image jointe. Il est mort vers la fin du mois de juin 1241.

 

 

Fils du tsar Ivan Assen Ier de la dynastie des Assénides (quelquefois Asanides), Ivan Assen II est contraint de se réfugier, avec son frère Alexandre, chez les Coumans puis "en terre russe" (vraisemblablement dans la principauté de Kiev) suite à l'usurpation de son cousin Boril (Борил) en 1207.

En 1217, Ivan Assen II rentre en Bulgarie où il reprend le trône à Boril avec l'aide de mercenaires russes, les Brodniks (une population russo-ukrainienne alliée des Coumans habitant dans les steppes du bord de la mer Noire, et qu'il installe dans l'actuelle Moldavie). Il mène alors une politique habile et équilibrée, en alliant ses démarches diplomatiques à des opérations militaires modérées.

En 1219/1221, il conclut un mariage dynastique avec Anne-Marie, la fille du roi André II de Hongrie, ce qui lui permet de récupérer le banat de Craiova, le knésat slavo-valaque de Trgovište et les villes serbes de Belgrade et Braničevo qui avaient été rattachés à la Hongrie. Il mène une politique de mariages dynastiques avec pratiquement l'ensemble de ses voisins.

 

Le « Royaume des Bulgares et des Valaques » sous le règne de Ivan (Ioan) Asen

 

Vers 1229-1230, il renforce l'influence de son Royaume sur l'empire latin d'Orient en projetant le mariage de sa fille Hélène avec l'empereur Baudouin II de Courtenay. Ce projet contrarie le despote d'Épire et empereur byzantin de Thessalonique Théodore Ier Ange Doukas Comnène qui attaque l'empire bulgare mais subit une écrasante défaite à Klokotnica, le 9 mars 1230. Théodore Ange y est capturé et rendu aveugle par le tsar Ivan Assen II.

À la suite de cette victoire, l'empire bulgaro-valaque parvient en position d'hégémonie militaro-politique dans les Balkans avec un débouché sur les trois mers : mer Noire, Adriatique et Égée. La Serbie est également sous l'influence d'Ivan Assen II car le roi Stefan Vladislav n'est autre que son beau-fils.

Au cours des années 1230, l'empire assénide se rapproche de l'empire de Nicée. À la suite du décès de la tsarine Anne-Marie, Ivan Assen II se réoriente vers une alliance avec l’empire de Nicée, en maintenant une certaine réserve quant aux plans de restauration du pouvoir byzantin à Constantinople. Il se marie avec Irène Comnène, la fille du captif Théodore Ier Ange Doukas Comnène.

Pour des raisons de politique intérieure et extérieure, Ivan Asen II rompt, en 1232, l’union religieuse avec Rome. En 1235, au concile de Lampsaque, en Asie Mineure, il revient à l'orthodoxie et restaure le patriarcat de Tarnovo avec l’appui de l’empire de Nicée. Il place Joachim Ier à la tête de ce patriarcat.

En 1235-1236, Ivan Assen II et Jean III Doukas Vatatzès s’allient contre l'Empire latin de Constantinople. Mais l’année suivante, le tsar assénide se rapproche - de manière surprenante - des croisés de l’Empire latin.

Sur le plan économique, Ivan Asen II encourage le commerce, accorde des privilèges à la république de Dubrovnik (vers 1230) et est le premier tsar bulgare à battre monnaie (pièces en or et en bronze).

Sur le plan architectural, Ivan Assen II donne à la capitale Tarnovo son aspect monumental en renforçant les fortifications, en construisant des édifices religieux et des églises, dont la plus importante est celle dite des Quarante martyrs.

Ivan Assen II eut trois épouses :

. Anna, morte religieuse sous le nom Anissia et d'origine inconnue, dont :

. Mariya, épouse de Manuel de Thessalonique ;

. Beloslava, épouse de Stefan Vladislav Ier de Serbie ;

. Anne-Marie de Hongrie, (1204-1237), fille d’André II de Hongrie, dont :

. Hélène, épouse en 1235 Théodore II Lascaris empereur de Nicée ;

Koloman Ier Assen ;

Pierre, mort en 1237 ;

. Irène (Eiréné), religieuse sous le nom de Xéné, fille de Théodore Ier Ange Doukas Comnène, dont :

. Anna (renommée Théodora), qui épouse le sébastocrator Pierre avant 1253 ;

. Maria, qui épouse le boyard Mitzo Asên, tsar de Bulgarie en 12571258 ;

Michel II Assen.

(Le spectacle montre le mariage du tsar Ivan Assen II et de la tsarina Anne Marie de Hongrie)

 

4- 4 siècles sous le Joug ottoman : conversion forcée à l’islam des Rhodopes et devenir Pomak. Les gens refusant la conversion étaient décapités pour

les hommes, violées et envoyées à Constantinople comme esclaves pour les femmes et jeunes filles.

 

5- Kočo et le massacre de Peruštica : dans l’église de Peruštica, tous les habitants, hommes, femmes et enfants se sont réfugiés, mais les Bashi-Buzuk entamèrent les coups de feu, alors tous prirent les armes ne voulant pas se rendre à l’armée du Vizir arrivée, les réfugiés prirent les armes et

L'église "rouge"

Le mémorial

se défendirent, mais le massacre allait être pire, des femmes à l’extérieurs furent violées et démantelées, leurs crânes fracassés contre les murs de l’église, certaines préférèrent tuer leurs enfants, surtout les filles et se donner la mort. La femme de Spas Ginov lui demanda de les tuer en commençant par sa fille, plutôt qu’elles ne tombent entre les mains des soldats, aucune issue possible, il égorgea sa femme et sa fille, puis se tua à son tour comme le fit Kocho Chistimenski. Les autres furent tous massacrés sans aucun survivant.

 

6- Iossif Vladimirovitch Gourko (en russe : Иосиф Владимирович Гурко), capitulation des Ottomans : né en 1828 à Novgorod, décédé en 1901, est un homme politique et maréchal russe qui fut gouverneur temporaire de Saint-Pétersbourg d'avril 1879 à février 18801, gouverneur d'Odessa (1882-1883), et gouverneur général de Varsovie (1883-1894).

En 1846, Iossif Vladimirovitch Gourko sortit diplômé de l'École du Corps des Cadets de Saint-Pétersbourg (école réservée aux fils d'aristocrates et d'officiers afin de les préparer à une carrière militaire). Il fit une carrière militaire dans des régiments de cavalerie de la Garde. En 1860, il fut nommé aide de camp. Il lui fut confié la charge d'élaborer la réforme paysanne des régions de Samara, Kyatka et Kalouga. Cette mission se révéla un grand succès. Entre 1869 et 1875, Gourko fut nommé commandant des grenadiers à cheval, l'année suivante (1875) il fut placé à la tête de la deuxième division de la cavalerie de la Garde. Lors de la guerre russo-turque de 1877-1878, au grade adjudant-général, il fut placé à la tête d'un détachement avancé. Cette campagne militaire prit fin dans les Balkans où il reporta une victoire décisive à la Bataille du col de Shipka (Bulgarie). En avril 1879, Alexandre II le nomma adjoint au commandant en chef de la Garde impériale du district militaire de Saint-Pétersbourg et gouverneur temporaire de Saint-Pétersbourg. Il occupa cette dernière fonction jusqu'en février 1880. En 1876, Gourko rédigea un ouvrage intitulé Commander des exécutions, concernant l'application des exécutions de révolutionnaires. Ces instructions furent mises en pratique dans la décennie de 1870-1880. Entre 1882 et 1883, il fut en poste en qualité de gouverneur d'Odessa, puis de 1883 à 1894, de gouverneur général de Varsovie et commandant des forces stationnées dans les districts de la capitale polonaise. En 1894, il fut admis au Conseil d'État (1884) et nommé maréchal.

Iossif Vladimirovitch Gourko quitta la vie militaire en 1894.

Il avait épousé Marie de Sailhas de Tournemire dont le frère Eugène fit une brillante carrière d'écrivain en Russie sous le pseudonyme d'Evgueniy Salias.

 

7-  Fin de la 1ère guerre mondiale : retour des soldats aux foyers.